
Le droit des entreprises est un ensemble de lois qui régissent la création, le développement et la dissolution des sociétés. Il vise à protéger les investisseurs et à respecter les intérêts de toutes les parties impliquées.
Les investisseurs sont souvent confrontés à des risques et à des incertitudes liés à leurs investissements. Le droit des entreprises offre différentes garanties pour protéger les investisseurs et prévenir les abus.
Garantie de bonne foi
La «garantie de bonne foi» est l’une des principales protections dont bénéficient les investisseurs. Elle oblige la direction d’une société à agir avec intégrité et honnêteté envers ses actionnaires. La direction doit également faire preuve d’un niveau raisonnable de diligence raisonnable pour assurer l’intérêt de la société et de ses actionnaires.
Garantie de fiducie
La «garantie de fiducie» est un autre moyen par lequel la loi protège les investisseurs. Cette garantie exige que tous les dirigeants agissent conformément aux objectifs définis par la société et aux intérêts des actionnaires. La loi exige également que tous les fonds soient correctement utilisés, sans gaspiller ou négliger leurs biens.
Garantie de transparence
Pour prévenir l’abus et la fraude, le droit des entreprises impose aux sociétés une obligation de divulguer certaines informations financières importantes. Les actionnaires doivent être en mesure d’accéder facilement à ces informations afin qu’ils puissent prendre des décisions éclairées sur leurs investissements.
Garantie contre l’insolvabilité
Le droit des entreprises comprend également une garantie contre l’insolvabilité. En cas d’insolvabilité, cela signifie que la société n’est pas en mesure de rembourser ses dettes, ce qui peut se traduire par une perte financière pour les actionnaires. Pour prévenir ce type de situation, le droit des entreprises impose certaines restrictions sur l’utilisation et la gestion des fonds.
Garantie contre les abus
Enfin, le droit des entreprises offre une protection contre les abus ou la fraude au sein d’une société. Par exemple, il interdit aux dirigeants ou actionnaires majoritaires d’utiliser leurs positions pour s’enrichir personnellement aux dépens de la société ou des autres actionnaires. Il impose également plusieurs obligations aux dirigeants afin qu’ils ne commettent pas d’abus.